Elle en a pas l'air comme ça, mais Mikage est la mamie du groupe... oops, j'aurais peut-être pas du le dire ! Bah tant pis ! Parce qu'on a pas peur des kiwis d'abord ! Fin on fait genre mais ils ont un long bec, ces bestiaux, et puis il vont aspirer votre cerveau avec hein, faut pas croire ! C'est qu'elle se défend fort bien contre l'adversité, la p'tite créature sans aile ! Faudrait pas la prendre pour une buse !
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Texte du 03.12.2015
Ce fût comme une révélation.
Il marchait au milieux des dunes, la nuit était tombée sur les plages d'Okinawa. Le ciel empli d'étoiles était signe de promesse à venir. Il surveillait les astres, le visage levé. Ses yeux emplis d'innocence ne voyaient pas encore ce que le destin lui réservait.
A l'aube de ses 19 ans, Yuki était l'étudiant japonais bien sous tout rapport. Intelligent (peu être trop), curieux du monde qui l'entourait, un famille aimante... Il ne soupçonnait pas que cette nuit allait changer ça vie à jamais.
Alors que la voie lactée lui offrait un spectacle merveilleux. Une lumière étrange traversa le ciel. Tel un faucon elle filait de plus en plus vite vers sa proie. Elle se disloqua en une infinité d'éclats dans le ciel.
L'un d'eux, d'une vitesse et d'un brillance insolite se précipitait vers le jeune japonais. Yuki tel un lapin envouté par les phare d'un voiture ne bougea pas. Il resta là, émerveillé par ce spectacle incroyable. Sa vie allait être changée à jamais, le monde ne serait plus le même...mais tout cela n'avait plus d'importance.
L'Éclat percuta Yuki en plein milieux du front. Le jeune homme fût projeté en arrière contre un arbre qui bordait la plage.
Plus un bruit....le silence...la mort?
"Non...juste la Souffrance!"
Une voix venait de résonner dans sa tête. Une voix semblant sortir du fond des âges...
Yuki était étendu, inconscient, du sang ruisselait de son front. Une douleur fulgurante lui vrilla le corps et le réveilla. Chaque fibre de son être était torturée. Et dans son esprit, la même voix l'interpela:
"Nous sommes Givre...Givre de minuit...nous sommes la souffrance indicible des dieux morts."
"Et toi...qui est tu?"
Yuki ouvrit les yeux, des larmes écarlates coulaient sur ses joues. Il se recroquevilla sur lui-même et se prit la tête dans les mains. La douleur était insupportable.
"Arrêtez!!!!!!! Arrêtez ça! Par pitié!" hurla-t-il.
"Trop tard... nous sommes liés à présent, et nous serons ton Maître... nous t'apprendrons à subir et à accepter cette souffrance...car tu en seras digne."
Du sang commença a suinter de chaque parcelle de peau du jeune homme, imbibant ses vêtements et peu a peu recouvrant tout son corps.
"Lève-toi!" lui intima Givre.
Sans même s'en rendre compte, le jeune homme se redressa. Le sang goutait du bout de ses doigts. Il toucha son visage et senti une surface froide et lisse, comme celle d'un masque. Ses lèvres formaient un sourire figé. Au centre du masque, là où aurait dû se trouver les fentes des yeux, il n'y avait qu'un cercle sanglant.
"Cet endroit n'est pas notre monde... mais cela pourrait bien le devenir" prononça Givre derrière le masque.
"Nous allons te laisser un moment... mais saches... que nous te surveillons."
Le masque se désagrégea, le sang se résorba ne laissant que les vêtement trempé. Yuki tomba a genoux. La douleur avait disparu également. Le vent léger de l'été souffla dans ses cheveux qui avait pris en quelque instant un couleur blond cendré.
Le bruit des vague l'appela. Il se leva et défit sa chemise qu'il laissa derrière lui. Il quitta également ses sandales et marcha vers l'océan.
Les vague lui léchèrent les pieds et il plongea. Oubliant qui il était, d'où il venait, où il irait. Après tous, cela n'avait plus la moindre importance...
Il marchait au milieux des dunes, la nuit était tombée sur les plages d'Okinawa. Le ciel empli d'étoiles était signe de promesse à venir. Il surveillait les astres, le visage levé. Ses yeux emplis d'innocence ne voyaient pas encore ce que le destin lui réservait.
A l'aube de ses 19 ans, Yuki était l'étudiant japonais bien sous tout rapport. Intelligent (peu être trop), curieux du monde qui l'entourait, un famille aimante... Il ne soupçonnait pas que cette nuit allait changer ça vie à jamais.
Alors que la voie lactée lui offrait un spectacle merveilleux. Une lumière étrange traversa le ciel. Tel un faucon elle filait de plus en plus vite vers sa proie. Elle se disloqua en une infinité d'éclats dans le ciel.
L'un d'eux, d'une vitesse et d'un brillance insolite se précipitait vers le jeune japonais. Yuki tel un lapin envouté par les phare d'un voiture ne bougea pas. Il resta là, émerveillé par ce spectacle incroyable. Sa vie allait être changée à jamais, le monde ne serait plus le même...mais tout cela n'avait plus d'importance.
L'Éclat percuta Yuki en plein milieux du front. Le jeune homme fût projeté en arrière contre un arbre qui bordait la plage.
Plus un bruit....le silence...la mort?
"Non...juste la Souffrance!"
Une voix venait de résonner dans sa tête. Une voix semblant sortir du fond des âges...
Yuki était étendu, inconscient, du sang ruisselait de son front. Une douleur fulgurante lui vrilla le corps et le réveilla. Chaque fibre de son être était torturée. Et dans son esprit, la même voix l'interpela:
"Nous sommes Givre...Givre de minuit...nous sommes la souffrance indicible des dieux morts."
"Et toi...qui est tu?"
Yuki ouvrit les yeux, des larmes écarlates coulaient sur ses joues. Il se recroquevilla sur lui-même et se prit la tête dans les mains. La douleur était insupportable.
"Arrêtez!!!!!!! Arrêtez ça! Par pitié!" hurla-t-il.
"Trop tard... nous sommes liés à présent, et nous serons ton Maître... nous t'apprendrons à subir et à accepter cette souffrance...car tu en seras digne."
Du sang commença a suinter de chaque parcelle de peau du jeune homme, imbibant ses vêtements et peu a peu recouvrant tout son corps.
"Lève-toi!" lui intima Givre.
Sans même s'en rendre compte, le jeune homme se redressa. Le sang goutait du bout de ses doigts. Il toucha son visage et senti une surface froide et lisse, comme celle d'un masque. Ses lèvres formaient un sourire figé. Au centre du masque, là où aurait dû se trouver les fentes des yeux, il n'y avait qu'un cercle sanglant.
"Cet endroit n'est pas notre monde... mais cela pourrait bien le devenir" prononça Givre derrière le masque.
"Nous allons te laisser un moment... mais saches... que nous te surveillons."
Le masque se désagrégea, le sang se résorba ne laissant que les vêtement trempé. Yuki tomba a genoux. La douleur avait disparu également. Le vent léger de l'été souffla dans ses cheveux qui avait pris en quelque instant un couleur blond cendré.
Le bruit des vague l'appela. Il se leva et défit sa chemise qu'il laissa derrière lui. Il quitta également ses sandales et marcha vers l'océan.
Les vague lui léchèrent les pieds et il plongea. Oubliant qui il était, d'où il venait, où il irait. Après tous, cela n'avait plus la moindre importance...
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Il marche, chaque pas fait onduler la surface de l'eau et le guide un à un vers les mont brumeux. Le soleil invaincu l'inonde de chaleur. Les dernier rayons du dieux solaire lui montrent le chemin. Sous ses pas, les poissons ignorent son but. L'exalté le sait il lui-même?...il tend ses bras et demande une réponse. Seul le silence résonne autour de lui. Alors il avance. Sans sentir le froid sous ses pieds. Il sais qui peu atteindre l'autre rive...il doit juste garder confiance. Un rayon se pose sur son front et une marque dorée apparait. Une énergie nouvelle l'envahi, une force et une détermination que peu d'êtres peuvent appréhender. Il en est sur...c'est l'exaltation dont parle les ancêtre. C'est aussi une malédiction qu'il doit maintenant porter...
La brume avait envahi les sommets. L'astre avait disparu derrière Création. Il était a présent seul livré a lui-même. Sur son front la marque brillait toujours...un peu trop sans doute. Il savait qu'il pourrait être repéré de loin, de très loin même. Les flancs de la colline étaient boisés. Il devait les rejoindre rapidement. Ses pied nus foulaient le sol, de plus en plus vite, le paysage défilait. Son premier charme venait de se déclencher. La vitesse était presque jouissive. C'était a peine si ses pieds touchait le sol. Il pouvait bondir sur plusieurs mètre et atterrir souplement pour reprendre sa course. Il avait parcouru une grande distance en quelques minutes et se tenait sur le flanc ouest de la colline. Devant lui les derniers rayons du jour doraient le ciel. La brume l'enveloppait. Il resta là, émerveillé par ce que le monde lui offrait. Il posa un doigt sur son front et senti la chaleur diminuer. Que devait il faire a présent. "Survivre et aider les autres solaires a reprendre la place qu'ils occupaient au première âge." murmura-t-il pour lui-même.
La chasse sauvage était lancée. En tant que Sang de Dragon de l'Empire, c'était son rôle de trouver et de traquer les anathèmes. Il devait traverser le lac ou le contourner rapidement. Les espions avait indiqué une lumière dorée au milieu des brumes. Il toucha la surface du lac et un courant chaud lui indiqua une direction. L'anathème avait traversé l'étendue d'eau et avait filé vers les montagnes. Siséan choisi la solution la plus rapide. Il activa son charme d'air et posa le pied au dessus de la surface du lac avant de s'élancer vers le couchant. S'il voulait éliminer l'anathème et faire honneur a la famille Ragara il devait se surpasser. Arrivé aux pieds des collines il scruta le paysage. Rien...pas la moindre lumière à l'horizon. Il jura et commença à douter des information qu'on lui avait donné. L'avait-on volontairement écarté de la piste?...étais-ce une manœuvre de plus pour éloigner les Ragara du pouvoir ? Il essaya de trouver son calme afin de réfléchir. S'assaillant en tailleur il médita et demanda au dragon quelle voie suivre. Mais, seul le silence de la nuit lui répondit...
Texte du 17.12.2015
D'après une idée de Gaïanee
Personnage : Humain / Défaut: la luxure / Lieu: un manoir / Epoque: fin XIX/début XX
(musique écoutée pendant l'écriture: https://www.youtube.com/watch?v=p8TkBM5DeHM https://www.youtube.com/watch?v=0FdNlhZAYBE )
Première partie
Le manoir des Blackwells sommeillait. Au coin du feux, un homme feuilletait d'un air détacher un roman emprunté de la bibliothèque. Les flammes avides léchaient les buches en émettant des craquements étouffés.
Un verre de vin était négligemment poser sur la table basse. De temps a autre l'homme tendait la main, s'emparait du verre, avalait une gorgée du liquide sirupeux puis s'en retournait a sa lecture.
Rien ne semblait troubler l'apparente quiétude de la demeure. Au dehors, le vent geler paraissait risible a s'essouffler ainsi.
Les heures s'égrainait, tout semblait figée dans une éternelle continuité, dans une routine calibrée. Même la vielle horloge à balancier refusait de marquer une seconde d'hésitation dans sa mécanique bien huilée. Son tic tac était rassurant, familier et tellement prévisible. Chaque seconde durant une seconde, chaque tic enchainant un tac, chaque roue en entrainant une autre...
Sur le cousin, au coin de la pièce, Edwin, le bas-rouge du domaine ronflait paresseusement.
Le molosse ouvrit un œil, comme si son instinct lui révélait un secret que les hommes ne peuvent entrevoir. Une infime variation, un changement imperceptible. Il émit un grognement roque.
"Edwin...tiens toi tranquille..." murmura l'homme d'un ton las.
L'animal jeta un œil réprobateur a son maitre et tenta de se rendormir.
Deuxième partie
Un petit son, un cliquetis annonciateur retenti. L'horloge sonna un premier coup. Chaque glas résonnait un peu plus dans le silence de la pièce. Enfin, le douzième coup retenti ne laissant que le silence derrière lui.
En ce premier jour de l'An de grâce 1901, l'hivers recouvrait l'Angleterre d'un tapis de neige fraiche. La nuit s'étendait et la bise jouait dans les ramures des vieux chênes du parc. La nature, fidèle a elle-même, attendait le premier rayons printanier pour offrir au monde la promesse du renouveau...
Troisième partie
L'homme posa son livre sur la tablette et s'étira. Le nouvel an était passé. Il se dirigea vers la cheminée. Il ouvrit un petit coffret et en sorti un pipe qu'il bourra de tabac odorant. Portant la pipe a ses lèvres, il craqua une allumette et souffleta pour attiser la braise.
Il se tourna vers la fenêtre, s'avança, et tria les rideaux.
Edwin releva le museau en observant son maitre.
"Bien mon cher...si nous allions dormir? Nous apprendrons bien assez tôt ce que nous réserve le monde en ce nouveau siècle."
L'homme quitta la pièce suivie par son compagnons fidèle.
Le braise rougeoyait encore dans l'âtre. Le balancier de l'horloge marquait la cadence. Le rideau de la fenêtre eu un petit frison, imperceptible, comme si le vent du dehors s'était permis d'entrer, comme si l'ombre de la nuit s'était glissée un instant dans la vielle demeure.
"Chose inanimée? Avez-vous donc une âme?"
C'était là les dernières lignes inscrites sur la page laissée à l'abandon, dans le manoir des Blackwells en cet an de grâce 1901.
Le manoir des Blackwells sommeillait. Au coin du feux, un homme feuilletait d'un air détacher un roman emprunté de la bibliothèque. Les flammes avides léchaient les buches en émettant des craquements étouffés.
Un verre de vin était négligemment poser sur la table basse. De temps a autre l'homme tendait la main, s'emparait du verre, avalait une gorgée du liquide sirupeux puis s'en retournait a sa lecture.
Rien ne semblait troubler l'apparente quiétude de la demeure. Au dehors, le vent geler paraissait risible a s'essouffler ainsi.
Les heures s'égrainait, tout semblait figée dans une éternelle continuité, dans une routine calibrée. Même la vielle horloge à balancier refusait de marquer une seconde d'hésitation dans sa mécanique bien huilée. Son tic tac était rassurant, familier et tellement prévisible. Chaque seconde durant une seconde, chaque tic enchainant un tac, chaque roue en entrainant une autre...
Sur le cousin, au coin de la pièce, Edwin, le bas-rouge du domaine ronflait paresseusement.
Le molosse ouvrit un œil, comme si son instinct lui révélait un secret que les hommes ne peuvent entrevoir. Une infime variation, un changement imperceptible. Il émit un grognement roque.
"Edwin...tiens toi tranquille..." murmura l'homme d'un ton las.
L'animal jeta un œil réprobateur a son maitre et tenta de se rendormir.
Deuxième partie
Un petit son, un cliquetis annonciateur retenti. L'horloge sonna un premier coup. Chaque glas résonnait un peu plus dans le silence de la pièce. Enfin, le douzième coup retenti ne laissant que le silence derrière lui.
En ce premier jour de l'An de grâce 1901, l'hivers recouvrait l'Angleterre d'un tapis de neige fraiche. La nuit s'étendait et la bise jouait dans les ramures des vieux chênes du parc. La nature, fidèle a elle-même, attendait le premier rayons printanier pour offrir au monde la promesse du renouveau...
Troisième partie
L'homme posa son livre sur la tablette et s'étira. Le nouvel an était passé. Il se dirigea vers la cheminée. Il ouvrit un petit coffret et en sorti un pipe qu'il bourra de tabac odorant. Portant la pipe a ses lèvres, il craqua une allumette et souffleta pour attiser la braise.
Il se tourna vers la fenêtre, s'avança, et tria les rideaux.
Edwin releva le museau en observant son maitre.
"Bien mon cher...si nous allions dormir? Nous apprendrons bien assez tôt ce que nous réserve le monde en ce nouveau siècle."
L'homme quitta la pièce suivie par son compagnons fidèle.
Le braise rougeoyait encore dans l'âtre. Le balancier de l'horloge marquait la cadence. Le rideau de la fenêtre eu un petit frison, imperceptible, comme si le vent du dehors s'était permis d'entrer, comme si l'ombre de la nuit s'était glissée un instant dans la vielle demeure.
"Chose inanimée? Avez-vous donc une âme?"
C'était là les dernières lignes inscrites sur la page laissée à l'abandon, dans le manoir des Blackwells en cet an de grâce 1901.
Texte du 14.01.2016
Thème : Raison et déraison
Il replaça pensivement ses lunettes et fit un pas ou deux de long en large. Son bureau était en ordre, pas la moindre poussière, pas le moindre fouillis. Pour lui, les choses matériel devait avoir un sens, un ordre logique.
Il venait de laisser partir son dernier patient...il pouvait enfin se détendre. Malgré tous ses discours désordonner, il devait rester lucide et aider au mieux les gens qui frappait a la porte de son cabinet. C'était parfois gratifiant, parfois pénible, mais c'était la vocation qu'il avait choisit.
Il s'approcha de la fenêtre et observa, songeur, la pluie qui ruisselait contre la vitre. Le calme, le silence, étaient sa façon de se ressourcer, de se retrouver. La folie il la croisait chaque jour. Avec plus ou moins de nuance. Les rues de Kyoto en était souvent le théâtre. Entre le délire éthylique de l'ivrogne ou la dépression de la mère de famille il y avait le choix.
Il sorti son étui a cigarette de sa poche de pantalon, en pris une et l'alluma. Aspirant une bouffée qu'il laissa ensuite échapper entre ses lèvres. Ses pensée se perdirent un instant. Il l'imagina. Ses cheveux roux au vent...son sourire triste...elle était...son salut. Elle était la seul chose qui le raisonnait dans se monde de dégénéré.
Il posa doucement son front contre le carreaux froid de la vitre.
"Nous allons prendre de vacances... n'est-ce pas?"
"Oui...mais tu n'est pas inviter!" Les mots était sorti de sa bouche avec lassitude.
"Nous n'avons pas besoin d'invitation...tu le sais bien!"
Yuki ne répondit pas, il n'avait pas envie de luter aujourd'hui. Cette chose qui le hantait réussissait toujours a obtenir ce qui voulait...a quoi bon s'y opposer.
Lui, qui tentais de soigner la maladie des autres, était incapable de contrôler cette voix qui résonnait sans cesse dans son esprit. Le pire était de savoir que cette être prenait parfois le contrôle et qu'il n'en gardait aucun souvenir.
"Givre?"
"Ouiii... Maiîîître???"
"Tssss! Pas de ça avec moi...s'il te plais!"
"Bien...nous t'écoutons..."
"Tu ne fera pas "d'idiotie" pendant "nos vacances"?"
"Voyons pour qui nous prends tu?"
"Pour ce que tu es...enfin bref, tu as compris le message alors tiens toi tranquille."
Silence...
La cendre de la cigarette tomba au sol. Il avait fermé les yeux sans s'en rendre compte. Il tira sur ce qui restait du mégot et l'écrasa dans le cendrier.
Au yeux de tous il était Mr Asada, jeune psychologue, prêt a aider son prochain. Au yeux des Donovans, il était un membre de la famille, un ami sincère. Mais a ses propre yeux, il était un corps manipulé par une entité étrange. Un Éclat au origine obscure. Brid en était conscient, mais pas le reste du monde. Et il fallait a tout pris que tout cela reste ainsi. Il ne fallait pas faire de vague...encore moins un Tsunami.
Le fait de partir en Europe comportait sans doute des risques...mais c'était leurs vacances. C'était leur moment de liberté...Ils allait s'échapper du Japon, s'éloigner de temps de souvenirs douloureux. Tant d'ami disparu. Il voulait offrir a Brid, Andy et Zero, un moment de paix, de joie...
"Et toi? tu ne le mérite pas aussi?"
Yuki marqua un temps d'arrêt. Cette pensée ne lui avait pas vraiment traversée l'esprit.
"Laisse nous te montrer quelque chose..."
La pièce disparu autour de du jeune homme. Kyoto s'effaça... le Japon s'effaça.
Sur une plage, la nuit était tombée. Le bruit des vagues déferlant sur la grève était apaisant. Il entendit un rire d'enfant. Autour d'un feu de bois, trois personnes riait en faisant griller des chamalos. Dans la pénombre, une silhouette féline chassait discrètement les crustacés enfoui dans le sable.
C'était un peu d'espoir...une vision magique d'un avenir possible. La vision s'évapora peu a peu alors que les flammes s'élevèrent, et leur couleur jaune orangé se détacha sur le ciel bleu marine.Cliquez ici pour modifier.
Il venait de laisser partir son dernier patient...il pouvait enfin se détendre. Malgré tous ses discours désordonner, il devait rester lucide et aider au mieux les gens qui frappait a la porte de son cabinet. C'était parfois gratifiant, parfois pénible, mais c'était la vocation qu'il avait choisit.
Il s'approcha de la fenêtre et observa, songeur, la pluie qui ruisselait contre la vitre. Le calme, le silence, étaient sa façon de se ressourcer, de se retrouver. La folie il la croisait chaque jour. Avec plus ou moins de nuance. Les rues de Kyoto en était souvent le théâtre. Entre le délire éthylique de l'ivrogne ou la dépression de la mère de famille il y avait le choix.
Il sorti son étui a cigarette de sa poche de pantalon, en pris une et l'alluma. Aspirant une bouffée qu'il laissa ensuite échapper entre ses lèvres. Ses pensée se perdirent un instant. Il l'imagina. Ses cheveux roux au vent...son sourire triste...elle était...son salut. Elle était la seul chose qui le raisonnait dans se monde de dégénéré.
Il posa doucement son front contre le carreaux froid de la vitre.
"Nous allons prendre de vacances... n'est-ce pas?"
"Oui...mais tu n'est pas inviter!" Les mots était sorti de sa bouche avec lassitude.
"Nous n'avons pas besoin d'invitation...tu le sais bien!"
Yuki ne répondit pas, il n'avait pas envie de luter aujourd'hui. Cette chose qui le hantait réussissait toujours a obtenir ce qui voulait...a quoi bon s'y opposer.
Lui, qui tentais de soigner la maladie des autres, était incapable de contrôler cette voix qui résonnait sans cesse dans son esprit. Le pire était de savoir que cette être prenait parfois le contrôle et qu'il n'en gardait aucun souvenir.
"Givre?"
"Ouiii... Maiîîître???"
"Tssss! Pas de ça avec moi...s'il te plais!"
"Bien...nous t'écoutons..."
"Tu ne fera pas "d'idiotie" pendant "nos vacances"?"
"Voyons pour qui nous prends tu?"
"Pour ce que tu es...enfin bref, tu as compris le message alors tiens toi tranquille."
Silence...
La cendre de la cigarette tomba au sol. Il avait fermé les yeux sans s'en rendre compte. Il tira sur ce qui restait du mégot et l'écrasa dans le cendrier.
Au yeux de tous il était Mr Asada, jeune psychologue, prêt a aider son prochain. Au yeux des Donovans, il était un membre de la famille, un ami sincère. Mais a ses propre yeux, il était un corps manipulé par une entité étrange. Un Éclat au origine obscure. Brid en était conscient, mais pas le reste du monde. Et il fallait a tout pris que tout cela reste ainsi. Il ne fallait pas faire de vague...encore moins un Tsunami.
Le fait de partir en Europe comportait sans doute des risques...mais c'était leurs vacances. C'était leur moment de liberté...Ils allait s'échapper du Japon, s'éloigner de temps de souvenirs douloureux. Tant d'ami disparu. Il voulait offrir a Brid, Andy et Zero, un moment de paix, de joie...
"Et toi? tu ne le mérite pas aussi?"
Yuki marqua un temps d'arrêt. Cette pensée ne lui avait pas vraiment traversée l'esprit.
"Laisse nous te montrer quelque chose..."
La pièce disparu autour de du jeune homme. Kyoto s'effaça... le Japon s'effaça.
Sur une plage, la nuit était tombée. Le bruit des vagues déferlant sur la grève était apaisant. Il entendit un rire d'enfant. Autour d'un feu de bois, trois personnes riait en faisant griller des chamalos. Dans la pénombre, une silhouette féline chassait discrètement les crustacés enfoui dans le sable.
C'était un peu d'espoir...une vision magique d'un avenir possible. La vision s'évapora peu a peu alors que les flammes s'élevèrent, et leur couleur jaune orangé se détacha sur le ciel bleu marine.Cliquez ici pour modifier.
Texte du 28.01.2015
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Je vous ai déjà parler de cette histoire? Non? Attendez posez vous, ça vaut la peine d'écouter. Installez vous et détendez vous...
Mon grand père était fossoyeur, à la nouvelle Orléans. C'était les années folles, le jazz enivrais les têtes...et pas que le jazz...le vaudou aussi. Des européens avaient débarqué pour une raison obscure et avais mis une sacré pagaille dans la Bayou. Mais ça c'est sans doute une autre histoire...
Par contre mon grand père, le vieux George comme ils l'appelaient, il se la coulait douce, il creusait ses tombes, il demandait rien aux vivant...mais il aimait bien causer aux mort...eux, de toute façon ils répondaient jamais...enfin presque jamais.
Et c'est là que je voulais en venir. Un jour qu'il creusait comme d'habitude...il a entendu un "Toc"...il c'est dis..."Bah! un caillou"...Il a creusé plus sec et "Toc" comme dans du métal. Il s'est agenouiller le vieux George...il a creusé avec ses vielles mains. Et il a senti que'qu'chose de dur. P'tit a p'tit, il a ressorti un pelle de dessous la terre du cimetière. Elle était pas belle a voir, rouiller et mité par le temps. Il s'est dis "bah! une Pelle Morte...autant la laissée où elle est..." Il savait qu'il fallait mieux pas réveiller les morts. Mais la pelle elle voulait pas rester là où elle était...ça c'est-ce que le vieux George il a compris. C'était comme si la pelle, elle l'avait appeler. C'était comme une 'tite musique dans sa tête...un truc qui swing.
Il a donc prie la vieille pelle dans ses mains usées. Il a fini de creuser son trou avec...c'était pas comme d'habitude...c'était un peu enivrant....et joyeux. C'était un beau jour pour creuser.
Il avait fini quand le soleil y c'était coucher. Il est parti aussi se coucher. Mais derrière lui le cimetière, il était tout plein de trous.
Il parait que le lendemain dans le journal, on parlait de 66,6 morts...des gens comme ça, ils étaient tombé raid mort...même un bébé dans le ventre de sa maman...
Bah...heureusement, le vieux George, il avait fait son travaille. C'est ça le principal, que les mort ils aient un petit trou confortable pour se reposer.
Après le vieux George, il prenait sa Vielle Pelle et il allait accueillir les nouveaux aux cimetière. Et pour la première fois, les morts, ils lui ont répondu. La p'tite musique swinguait toujours dans sa tête, et les morts, ils chantaient. Le vieux George, il en croyait pas ses oreilles. Mais il était heureux, il était plus seul quand il creusait ses trous.
Il parait qu'il a enterré la moitié de la ville, en moins d'un an. Ils ont du faire un nouveau cimetière.
Et puis un jour, le vieux George, il était fatigué, il a creuser un beau troue, il est rentrer dedans, il a poser la Vielle Pelle a coter de lui et il a demander aux morts de l'aider a reboucher le trou.
Si je vous parle se soir, mes amis, c'est grâce a lui...parce que sans lui je pourrais pas parler...et le petite musique, elle serais pas la pour donner un aire de fête au fond du cimetière.
Mon grand père était fossoyeur, à la nouvelle Orléans. C'était les années folles, le jazz enivrais les têtes...et pas que le jazz...le vaudou aussi. Des européens avaient débarqué pour une raison obscure et avais mis une sacré pagaille dans la Bayou. Mais ça c'est sans doute une autre histoire...
Par contre mon grand père, le vieux George comme ils l'appelaient, il se la coulait douce, il creusait ses tombes, il demandait rien aux vivant...mais il aimait bien causer aux mort...eux, de toute façon ils répondaient jamais...enfin presque jamais.
Et c'est là que je voulais en venir. Un jour qu'il creusait comme d'habitude...il a entendu un "Toc"...il c'est dis..."Bah! un caillou"...Il a creusé plus sec et "Toc" comme dans du métal. Il s'est agenouiller le vieux George...il a creusé avec ses vielles mains. Et il a senti que'qu'chose de dur. P'tit a p'tit, il a ressorti un pelle de dessous la terre du cimetière. Elle était pas belle a voir, rouiller et mité par le temps. Il s'est dis "bah! une Pelle Morte...autant la laissée où elle est..." Il savait qu'il fallait mieux pas réveiller les morts. Mais la pelle elle voulait pas rester là où elle était...ça c'est-ce que le vieux George il a compris. C'était comme si la pelle, elle l'avait appeler. C'était comme une 'tite musique dans sa tête...un truc qui swing.
Il a donc prie la vieille pelle dans ses mains usées. Il a fini de creuser son trou avec...c'était pas comme d'habitude...c'était un peu enivrant....et joyeux. C'était un beau jour pour creuser.
Il avait fini quand le soleil y c'était coucher. Il est parti aussi se coucher. Mais derrière lui le cimetière, il était tout plein de trous.
Il parait que le lendemain dans le journal, on parlait de 66,6 morts...des gens comme ça, ils étaient tombé raid mort...même un bébé dans le ventre de sa maman...
Bah...heureusement, le vieux George, il avait fait son travaille. C'est ça le principal, que les mort ils aient un petit trou confortable pour se reposer.
Après le vieux George, il prenait sa Vielle Pelle et il allait accueillir les nouveaux aux cimetière. Et pour la première fois, les morts, ils lui ont répondu. La p'tite musique swinguait toujours dans sa tête, et les morts, ils chantaient. Le vieux George, il en croyait pas ses oreilles. Mais il était heureux, il était plus seul quand il creusait ses trous.
Il parait qu'il a enterré la moitié de la ville, en moins d'un an. Ils ont du faire un nouveau cimetière.
Et puis un jour, le vieux George, il était fatigué, il a creuser un beau troue, il est rentrer dedans, il a poser la Vielle Pelle a coter de lui et il a demander aux morts de l'aider a reboucher le trou.
Si je vous parle se soir, mes amis, c'est grâce a lui...parce que sans lui je pourrais pas parler...et le petite musique, elle serais pas la pour donner un aire de fête au fond du cimetière.
Texte du 04.02.2016
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Tu voudra boire...
jusqu'à la déraison.
Remplissant ton verre.
Avec fougue et passion.
Et tu aimera...
Un peu comme un tic
Mais ne cherchera
Que le sens pratique.
Tu marchera seul.
Avec discrétion
Au regard indiscret.
Ne prêtant attention.
Tu croquera la vie,
Tu pleura aussi.
Tu regrettera "et si?".
Tu rira de folie.
Tu les entendra
Chanter et Clamer
Un souffle de haine
Ta fuite sera veine
Et puis libre
Tu nous rejoindra...
Et tu oubliera
jusqu'à la déraison.
Remplissant ton verre.
Avec fougue et passion.
Et tu aimera...
Un peu comme un tic
Mais ne cherchera
Que le sens pratique.
Tu marchera seul.
Avec discrétion
Au regard indiscret.
Ne prêtant attention.
Tu croquera la vie,
Tu pleura aussi.
Tu regrettera "et si?".
Tu rira de folie.
Tu les entendra
Chanter et Clamer
Un souffle de haine
Ta fuite sera veine
Et puis libre
Tu nous rejoindra...
Et tu oubliera
Texte du 18.02.2016
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"On n'imagine pas combien il faut d'esprit pour n'être jamais ridicule."
"Nous savons fort bien que tout peut arriver en ce monde. Cependant nous avons appris a nous méfier de ce qui pourrais nous nuire. Et le ridicule en fait parti.
Nous étions a l'époque sang de Dragon a Lookshy. Une idée du Maître pour infiltrer leur rang et obtenir des informations. Nous avions du nous grimer, teindre nos cheveux en noir, ainsi que placer un bandeau sur notre front...il aurait été mal venue de nous faire démasquer.
Nous nous faisions appeler Tepet Seamus. Les Tepets étaient une famille dynastique sur le déclin, il était donc facile d'en inventer un membre sortie tout droit de notre esprit créatif.
Nous nous étions fait une belle réputation au sein du petit groupe d'élèves de la milice de la ville. Les demoiselle qui faisait partie de notre petit camaraderie n'était pas indifférant a notre charme. C'était assez plaisant...nous devons l'admettre. Les représentant de la gente masculine nous admirait...nous usions de notre charisme légendaire pour obtenir cet effet. Nous étions jeunes...nous étions fou...
Nous sortions souvent boire une fois la nuit venue. Tous ensemble, nous rions et fêtions joyeusement nos petit exploits a l'entrainement.
Alors que nous marchions dans les ruelles, l'esprit émécher par les spiritueux, l'impensable c'est produit.
Nous étions la a bavasser en chemin, suivie de nos compagnons quand un machiavélique pavé c'est dérober sous notre pied. Nous nous sommes affalé...de tout notre hauteur...tout comme notre égo d'ailleurs...
Un silence de mort a résonner dans la ruelle...un silence interminable. Nous étions là le nez dans le caniveaux...et nos camarde attroupés derrière nous. Malédiction...
Nous avons poser la paume de nos mains bien a plat, pris appuis... et d'une gracieuse pirouette, nous avons sauté sur nos pieds et nous sommes remis en marche, comme si rien n'était arrivé. Nous avons repris la conversation la où nous l'avions malencontreusement laissé et nos camarades nous on suivie avec le même enthousiasme qu'une minute au part avant.
On n'imagine pas combien il faut d'esprit pour n'être jamais ridicule."
"Nous savons fort bien que tout peut arriver en ce monde. Cependant nous avons appris a nous méfier de ce qui pourrais nous nuire. Et le ridicule en fait parti.
Nous étions a l'époque sang de Dragon a Lookshy. Une idée du Maître pour infiltrer leur rang et obtenir des informations. Nous avions du nous grimer, teindre nos cheveux en noir, ainsi que placer un bandeau sur notre front...il aurait été mal venue de nous faire démasquer.
Nous nous faisions appeler Tepet Seamus. Les Tepets étaient une famille dynastique sur le déclin, il était donc facile d'en inventer un membre sortie tout droit de notre esprit créatif.
Nous nous étions fait une belle réputation au sein du petit groupe d'élèves de la milice de la ville. Les demoiselle qui faisait partie de notre petit camaraderie n'était pas indifférant a notre charme. C'était assez plaisant...nous devons l'admettre. Les représentant de la gente masculine nous admirait...nous usions de notre charisme légendaire pour obtenir cet effet. Nous étions jeunes...nous étions fou...
Nous sortions souvent boire une fois la nuit venue. Tous ensemble, nous rions et fêtions joyeusement nos petit exploits a l'entrainement.
Alors que nous marchions dans les ruelles, l'esprit émécher par les spiritueux, l'impensable c'est produit.
Nous étions la a bavasser en chemin, suivie de nos compagnons quand un machiavélique pavé c'est dérober sous notre pied. Nous nous sommes affalé...de tout notre hauteur...tout comme notre égo d'ailleurs...
Un silence de mort a résonner dans la ruelle...un silence interminable. Nous étions là le nez dans le caniveaux...et nos camarde attroupés derrière nous. Malédiction...
Nous avons poser la paume de nos mains bien a plat, pris appuis... et d'une gracieuse pirouette, nous avons sauté sur nos pieds et nous sommes remis en marche, comme si rien n'était arrivé. Nous avons repris la conversation la où nous l'avions malencontreusement laissé et nos camarades nous on suivie avec le même enthousiasme qu'une minute au part avant.
On n'imagine pas combien il faut d'esprit pour n'être jamais ridicule."
Texte du 10.03.2016
Sur cette musique : https://www.youtube.com/watch?v=-riLQjemQjk
"Il m'a nommé "Dame des Cendres". Il semble connaitre des choses que je n'appréhende pas moi-même. Il parait fou, il parait insaisissable...mais l'est il vraiment?
N'est-ce pas là un jeu qu'il se plait a interpréter pour me duper.
Je n'attendait rien de la vie, de la mort non plus et ce pitre viens tout bouleverser. Je me surprends a attendre. Réapparaitra t'il comme la première fois, au cœur des ténèbres. Qu'est-ce que j'espère au juste. Qu'il trouve une faille en moi et qu'il l'exploite.
"Vous êtes notre nouveau Maitre!" A t'il dis.
Quel absurdité, je ne suis déjà pas maitresse de moi-même. Je ne suis qu'une chanteuse, une kyabakura, une catin en fin de compte.
Mais il a senti. Il sait que les mort me parle. Que leur esprit hante mes nuit. Il faut que j'apprenne ce qu'il est, ce qui le motive. Si je le laisse faire, je vais devenir folle."
Shinda posa le bout de son index sur la tige de l'orchidée posée sur la table basse. La plante sembla frémir avant de prendre un aspect de plus en plus orcre et de plus en plus racornit. Elle n'avait jamais laisser personne entrer dans son jardin secret et découvrir le rapport qu'elle entretenait avec la mort. Jamais elle n'avait rencontrer d'être possédant un Éclat. Elle doutais et la démence de cet homme l'intriguait.
Instinctivement sans réfléchir elle entrouvrit les lèvres et entonna un chant étrange, un chant sorti du fond des âges. Un frison parcourut sa peau blanche alors que les parole s'échappait de sa bouche dans une langue incompréhensible. De la buée se forma lorsque son haleine se mêla a l'aire ambiant.
Il était là, il l'observait comme a son habitude. Elle en était sure. "Givre!!! Montre toi! Nous devons parler tout les deux."
Une silhouette se dégagea de l'obscurité de la pièce, un sourire malsain figé sur le masque qui recouvrait son visage. Il s'avança a pas lent... Saisit la main de la jeune femme et y déposa un baisé geler.
"Oui Maiiitre? Vous nous avez appeler?"
N'est-ce pas là un jeu qu'il se plait a interpréter pour me duper.
Je n'attendait rien de la vie, de la mort non plus et ce pitre viens tout bouleverser. Je me surprends a attendre. Réapparaitra t'il comme la première fois, au cœur des ténèbres. Qu'est-ce que j'espère au juste. Qu'il trouve une faille en moi et qu'il l'exploite.
"Vous êtes notre nouveau Maitre!" A t'il dis.
Quel absurdité, je ne suis déjà pas maitresse de moi-même. Je ne suis qu'une chanteuse, une kyabakura, une catin en fin de compte.
Mais il a senti. Il sait que les mort me parle. Que leur esprit hante mes nuit. Il faut que j'apprenne ce qu'il est, ce qui le motive. Si je le laisse faire, je vais devenir folle."
Shinda posa le bout de son index sur la tige de l'orchidée posée sur la table basse. La plante sembla frémir avant de prendre un aspect de plus en plus orcre et de plus en plus racornit. Elle n'avait jamais laisser personne entrer dans son jardin secret et découvrir le rapport qu'elle entretenait avec la mort. Jamais elle n'avait rencontrer d'être possédant un Éclat. Elle doutais et la démence de cet homme l'intriguait.
Instinctivement sans réfléchir elle entrouvrit les lèvres et entonna un chant étrange, un chant sorti du fond des âges. Un frison parcourut sa peau blanche alors que les parole s'échappait de sa bouche dans une langue incompréhensible. De la buée se forma lorsque son haleine se mêla a l'aire ambiant.
Il était là, il l'observait comme a son habitude. Elle en était sure. "Givre!!! Montre toi! Nous devons parler tout les deux."
Une silhouette se dégagea de l'obscurité de la pièce, un sourire malsain figé sur le masque qui recouvrait son visage. Il s'avança a pas lent... Saisit la main de la jeune femme et y déposa un baisé geler.
"Oui Maiiitre? Vous nous avez appeler?"
Texte du 17.03.2016
A venir...
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