Lanky, c'est une p'tite mouette rieuse. Ses univers sont riches en couleurs, tout est emprunt de douceur. On s'envole avec elle pour de nouvelles aventures, simples et tellement percutantes ! Comme c'est tout doux, on voudrait toucher encore un peu plus longtemps le nuage sur lequel elle nous pose l'espace d'un instant...
Tous les textes de Lankouëch
Texte du 03.12.2015 - Une rencontre qui change toute une vie
Par une journée ensoleillée, Jérémy décida de se balader tranquillement en montagne. L’adulte, après plusieurs heures de marche arriva au sommet d’une dune. Il mit ses mains sur ses hanches en affichant un magnifique sourire et annonça à la cantonade :
Alors qu’il s’apprêtait à mordre dans son goûter, une personne vint s’installer à ses côtés. C’était une jeune fille, elle posa son sac juste à côté de celui du jeune homme, ce dernier la regarda du coin de l’œil, puis lui demanda, le plus gentiment ce qu’elle voulait, ce qu’elle s’empressa de répondre :
Une fois que le goûter fut fini, les deux compères récupèrent leurs sac-à-dos et partirent en direction du village. Durant toute la durée du voyage, ils décidèrent de faire connaissance :
- C’est vraiment magnifique !
Alors qu’il s’apprêtait à mordre dans son goûter, une personne vint s’installer à ses côtés. C’était une jeune fille, elle posa son sac juste à côté de celui du jeune homme, ce dernier la regarda du coin de l’œil, puis lui demanda, le plus gentiment ce qu’elle voulait, ce qu’elle s’empressa de répondre :
- Bonjour, je suis sincèrement navrée, mais je n’aime pas trop manger toute seule. J’espère que cela ne vous gêne pas.
Une fois que le goûter fut fini, les deux compères récupèrent leurs sac-à-dos et partirent en direction du village. Durant toute la durée du voyage, ils décidèrent de faire connaissance :
- Je me prénomme Jérémy, je suis en vacances dans la région et j’ai décidé de la visiter tranquillement, avant de reprendre le chemin du travail. Et de votre côté ?
- Je suis enchantée de faire votre connaissance, je me nomme Cerise, je suis également en vacances.
- Mais… Je me demandais, qui vous a donné cette carte ? Est-ce quelqu’un que vous connaissez ? Un de vos amis ?
- Que nenni, c’est une personne qui me l’a donné en me disant que dans ce village, on pouvait trouver un trésor, lui répondit-elle avec un regard pétillant.
- Un souci, monsieur ?
- Non, non, aucun…
- Hum… Es-tu sûre que c’est le bon « village » ?
- Ben… Normalement, on devrait voir une statue de faucon, enfin… Si elle existe encore, parce que vu l’état de ce village…
- C’est sûr, qu’il n’a pas eu de chance avec les intempéries, puis… Ce n’est pas pour dire, il était quand même coupé du monde aussi.
Texte du 17.12.2015
Le matin même, en ouvrant les rideaux, une jeune fille prénommée Liliana qui est blonde avec de longs cheveux soyeux et de magnifiques yeux bleus, habillée en nuisette rouge, est enchantée en voyant le beau temps et décide de se balader, car il fait un temps magnifique. Elle va voir ses amis et leur fait part de son envie de partir à l’aventure. Ces derniers lui ont donné ce plan ainsi que l’itinéraire qu’elle doit suivre. La demoiselle retourna chez elle, s’habilla en tenue de randonneuse, prends son sac à dos et part tranquillement.
Le périple fut plus long qu’elle ne le pense, elle commence à perdre du courage au fur et à mesure qu’elle avance, c’est alors qu’en prenant le dernier virage, son visage s’éblouit en voyant ce qui s’étendait sous ses yeux. Un lac trône fièrement au milieu d’une végétation luxuriante, on peut même voir par-ci, par-là quelques mousses qui flottent joyeusement à la surface. L’étendu est calme. Elle regarde les nuages qui sont de couleur rose, orange avec une pointe de bleu marine, ce qui rendait ce paysage vraiment magnifique. Au loin, se dresse des montagnes et en contre-bas une forêt de mélèze.
La jeune fille se penche et s’éclabousse le visage. Un magnifique sourire se dessine sur son visage, tellement la demoiselle est heureuse de voir qu’elle a bien fait de ne pas s’écouter, elle fouille dans son sac-à-dos en sortit son appareil photo et immortalise le moment. Elle s’assit sur l’herbe et regarde tranquillement le paysage, puis s’endort.
Le périple fut plus long qu’elle ne le pense, elle commence à perdre du courage au fur et à mesure qu’elle avance, c’est alors qu’en prenant le dernier virage, son visage s’éblouit en voyant ce qui s’étendait sous ses yeux. Un lac trône fièrement au milieu d’une végétation luxuriante, on peut même voir par-ci, par-là quelques mousses qui flottent joyeusement à la surface. L’étendu est calme. Elle regarde les nuages qui sont de couleur rose, orange avec une pointe de bleu marine, ce qui rendait ce paysage vraiment magnifique. Au loin, se dresse des montagnes et en contre-bas une forêt de mélèze.
La jeune fille se penche et s’éclabousse le visage. Un magnifique sourire se dessine sur son visage, tellement la demoiselle est heureuse de voir qu’elle a bien fait de ne pas s’écouter, elle fouille dans son sac-à-dos en sortit son appareil photo et immortalise le moment. Elle s’assit sur l’herbe et regarde tranquillement le paysage, puis s’endort.
Plusieurs années auparavant, alors que Liliana était âgée d’une dizaine d’année, la jeune fille blonde aux yeux bleus rêvait de voyage. Elle adorait imaginer bon nombre de paysage tous plus surprenant les uns que les autres, mais ses parents refusaient de l’emmener en balade, car après plusieurs heures de marche, elle avait mal aux pieds et voulait rebrousser chemin.
Elle dû attendre d’avoir le double de son âge pour se balader comme bon lui semblait, sans ses parents. Elle prit ses affaires et s’en alla là où son instinct la guidait. Après quelques minutes, elle tomba sur un paysage qui la laissa sans voix, ce n’était qu’une banale plaine, mais les couleurs qu’elle renvoyait ravivaient la demoiselle. Un arbre trônait au milieu, on pouvait également apercevoir des vallons qui avaient l’apparence de vague, on pouvait voire quelques buissons par-ci par-là. Le ciel était d’un bleu foncé qui virait au clair à l’horizon où quelques nuages avaient décidés de se balader. Au loin, entre deux vallons, la jeune fille vit la mer, un bateau naviguait tranquillement à moins que ce soit un rocher. Elle prit une photo et alla s’installer à l’ombre de l’arbre pour regarder les quelques animaux qui se promenaient sous ses yeux.
Elle dû attendre d’avoir le double de son âge pour se balader comme bon lui semblait, sans ses parents. Elle prit ses affaires et s’en alla là où son instinct la guidait. Après quelques minutes, elle tomba sur un paysage qui la laissa sans voix, ce n’était qu’une banale plaine, mais les couleurs qu’elle renvoyait ravivaient la demoiselle. Un arbre trônait au milieu, on pouvait également apercevoir des vallons qui avaient l’apparence de vague, on pouvait voire quelques buissons par-ci par-là. Le ciel était d’un bleu foncé qui virait au clair à l’horizon où quelques nuages avaient décidés de se balader. Au loin, entre deux vallons, la jeune fille vit la mer, un bateau naviguait tranquillement à moins que ce soit un rocher. Elle prit une photo et alla s’installer à l’ombre de l’arbre pour regarder les quelques animaux qui se promenaient sous ses yeux.
Quelques années plus tard, le meilleur ami de Liliana, qui se nommait Arnaud et qui avait des cheveux courts couleurs noir corbeau. Il avait des yeux noirs et portait des lunettes. Il décida de trouver cet endroit paradisiaque, car la jeune fille n’arrêtait pas de lui montrer la photo, en le sommant d’y aller, car elle était sûre qu’il retrouverait sa joie de vivre. Aussi se mit-il à arpenter le même chemin que son amie, voyant le même paysage, sauf que les arbres avaient poussés depuis la dernière fois.
Tout comme Liliana, dès qu’il sentait la fatigue le gagner, il voulait rebrousser chemin en disant à son amie qu’il avait vu le paysage enchanteur, sauf que cette dernière lui avait demandé une preuve de son passage. Il traîna péniblement ses jambes en rechignant, en grognant, en criant contre les oiseaux qui chantaient joyeusement. Une fois passée le virage, le garçon arrêta de se plaindre et fut ébahi par ce qui s’étendait sous ses yeux.
Le paysage ressemblait en tout point à la photo qu’avait prise son amie, le lac qui était entouré d’arbre, la chaîne de montagne au loin avec à ses pieds la forêt de mélèze, même la mousse était toujours présente.
Le jeune homme alla près de l’eau, retira ses chaussures ainsi que ses chaussettes et trempa et ses pieds en les remuant joyeusement, comme un enfant. Arnaud leva la tête pour admirer les nuages qui passaient au-dessus de sa tête. Son amie avait raison, ce paysage avait bel et bien un effet bénéfique sur son comportement.
L’adulte fouilla dans son sac-à-dos, sortit son appareil de photo et captura le paysage, puis le rangea, sortit ses pieds de l’eau et alla s’allonger sur le dos en mettant ses bras derrière la tête.
Tout comme Liliana, dès qu’il sentait la fatigue le gagner, il voulait rebrousser chemin en disant à son amie qu’il avait vu le paysage enchanteur, sauf que cette dernière lui avait demandé une preuve de son passage. Il traîna péniblement ses jambes en rechignant, en grognant, en criant contre les oiseaux qui chantaient joyeusement. Une fois passée le virage, le garçon arrêta de se plaindre et fut ébahi par ce qui s’étendait sous ses yeux.
Le paysage ressemblait en tout point à la photo qu’avait prise son amie, le lac qui était entouré d’arbre, la chaîne de montagne au loin avec à ses pieds la forêt de mélèze, même la mousse était toujours présente.
Le jeune homme alla près de l’eau, retira ses chaussures ainsi que ses chaussettes et trempa et ses pieds en les remuant joyeusement, comme un enfant. Arnaud leva la tête pour admirer les nuages qui passaient au-dessus de sa tête. Son amie avait raison, ce paysage avait bel et bien un effet bénéfique sur son comportement.
L’adulte fouilla dans son sac-à-dos, sortit son appareil de photo et captura le paysage, puis le rangea, sortit ses pieds de l’eau et alla s’allonger sur le dos en mettant ses bras derrière la tête.
Texte du 14.01.2016
C'était une journée d’avril froide et claire, la neige commençait à tomber, un petit Évoli s’amusait à sauter dans la poudreuse, c’est alors qu’il fit un trou trop grand, il remonta à la surface, secoua sa petite tête pour faire partir toute la neige, puis continua joyeusement sa route. C’est alors qu’il tomba sur une ville qui était rempli d’humain en tout genre, d’un naturel curieux, le petit être décida d’y aller. Alors qu’il était sur le point de rentrer, un Pyroli l’arrêta et le regarda avec un air mauvais. L’Évoli se mit en boule, le Pokémon de feu le prit par la peau du cou et l’amena dans un endroit sûr.
Le lendemain, le petit être se remit à sauter dans la neige, puis s’approcha de nouveau de la ville, mais en restant tout de même en retrait. C’est alors qu’il vit l’enfant de la veille, il courut joyeusement dans sa direction, mais se rétama dans la neige juste devant lui, ce qui eut pour effet de faire rire le gamin.
- Maman… Pourquoi m’empêches-tu d’y aller ?
- C’est dangereux pour toi, reste ici et ne t’éloignes pas !
- Que fais-tu là, mon grand ?
- Où habites-tu ? Je peux t’aider, si tu veux.
- « Finalement… Maman avait raison, les humains sont effrayants et c’est endroit est trop grand pour moi »
- « Pourquoi faut-il que je retombe sur lui ? Il me fait peur en plus… », pensa le petit-être
- Oh ! Mon grand, tu n’as pas faim ?
- « Lâche-moi ! Je refuse qu’on me capture ! »
- Là, là, mon grand… Ces gens vont te laisser tranquille, on va rentrer à la maison.
- Rentre chez toi, ta famille doit s’inquiéter.
- « Désolé maman, mais… Je voulais découvrir la ville, mais j’ai retenu la leçon, je n’irais plus jamais dans ce genre d’endroit ! »
- « Liam… Je te connais tellement bien, je suis sûre que tu vas partir découvrir de nouveaux horizons. »
Le lendemain, le petit être se remit à sauter dans la neige, puis s’approcha de nouveau de la ville, mais en restant tout de même en retrait. C’est alors qu’il vit l’enfant de la veille, il courut joyeusement dans sa direction, mais se rétama dans la neige juste devant lui, ce qui eut pour effet de faire rire le gamin.
- Tu es vraiment drôle, tu ne t’es pas fait mal au moins, lui demanda-t-il avec un air triste.
- Tu es gentil dans le fond, tu as juste eut très peur hier. Ne t’en fais pas, mon grand, je vais très bien. Tu t’es juste défendu, tu n’as pas à t’en vouloir.
Texte du 28.01.2016
La nuit était tombée sur un petit village perdu au beau milieu des diverses champs de vignes. Une petite fille était assise devant l’âtre, le feu crépitait et renvoyait une douce chaleur. L’enfant alla sur un fauteuil, prit le premier livre qui lui tombait sous la main et se mit à regarder les images. Elle espérait que sa grand-mère allait revenir rapidement pour lui raconter cette histoire qu’elle aimait tant.
La pendule sonna les six heures du soir, la porte s’ouvrit et une dame rentra. La fillette quitta son fauteuil, alla voir la personne et lui présenta le livre. La personne âgée ébouriffa les cheveux de l’enfant.
Le goupil s’arrêta au pied de l’arbre, en voyant un terrier, il s’engouffra dans ce dernier. L’escargot attendait à l’extérieur, car l’entrée était trop étroite pour eux deux. Le quadrupède avait accepté.
Il arriva dans une salle et au beau milieu se trouvait un masque.
Après plusieurs jours de course, il arriva à un village. Il déposa l’escargot à l’entrée et alla voir des habitants.
Le renard l’ignorait, mais le masque qu’il a trouvé avait été enfoui, il y a des lunes, car il était destructeur et n’apportait que la cruauté ainsi que la désolation. Les animaux n’étaient plus tranquille, l’homme allait de nouveau les traquer, même s’ils étaient en bonne santé, à dire qu’avant, ils ne tuaient que ceux qui étaient malade ou en phase terminale.
L’escargot, de son côté, voulut partir, mais avec sa lenteur, il fut rapidement attrapé pour être mangé. »
La grand-mère referma son livre et regarda la jeune fille.
La pendule sonna les six heures du soir, la porte s’ouvrit et une dame rentra. La fillette quitta son fauteuil, alla voir la personne et lui présenta le livre. La personne âgée ébouriffa les cheveux de l’enfant.
- D’accord, Margot, je vais te raconter cette légende. Allons près du feu, ça sera plus agréable.
- « Il y a bien longtemps, alors qu’humain et animaux se comprenaient à merveille. Un cirque décida de prendre place, or les animaux n’étaient pas ravi de faire partit de cette troupe. L’un d’eux décida de prendre la fuite. Alors qu’il gambadait joyeusement, il tomba sur un chasseur qui lui tint ce langage :
- - Hé bien ! Quelle curieuse bête !
- Je ne suis pas une bête curieuse, je suis venu à bord de ce cirque et j’ai décidé de m’échapper !
- Oh ! Mais… Je suis sûr que si je t’attrape, je risquerais d’avoir une belle rançon.
- Les gens sont fous ici, ma parole !
- Hey ! Déguerpis de ma maison, sale intrus !
- Dis-moi, petit, tu ne serais pas intéressé par un trésor ? On raconte qu’il existe un héritage que seul un animal de ton espèce peut trouver.
- Tu vas dans la mauvaise direction, le trésor est de l’autre côté !
- Vous avez bientôt fini ! Je ne veux pas de votre trésor !
- Même s’il est bénéfique pour tous les animaux ? Et surtout ceux faisant partit d’un cirque.
- Bien ! Tu fais demi-tour, je te dirais quand tu devras tourner !
- Tu es bien étrange, de quelle espèce es-tu ?
- Celle des gastéropodes, nous avons encore une longue route devant nous. On ne devrait pas s’arrêter maintenant, j’ai peur que d’autres animaux qui te ressemblent, y arrivent avant nous.
- Hum… Je ne sais pas pourquoi je te suis, après tout, qui me dit que ce trésor est bénéfique.
- Oh ! Tout simplement parce qu’un oiseau de bon augure me l’a dit et qu’il ne se trompe jamais.
- On verra bien…
- Il nous reste à grimper cette colline et normalement, on devrait tomber sur un arbre. Allez ! En route, mon ami.
- Je ne suis pas ton ami…
- Sais-tu exactement ce qu’il y a dans ce trésor ?
- Pas vraiment, mais sûrement de la nourriture.
- Je ne vois pas en quoi c’est bénéfique pour les animaux de cirque.
- On verra bien, peut-être que j’ai faux aussi.
- Ce n’est pas bientôt fini ce vacarme !
- Continuons notre route !
- Maintenant ? Mais… Et le déjeuner du matin ?
- On y est presque, je le sens !
- Pas question ! Je ne partirais pas sans mon déjeuner !
- On trouvera sûrement à manger un peu plus haut. En route, mon ami !
- Je ne suis toujours pas ton ami…
Le goupil s’arrêta au pied de l’arbre, en voyant un terrier, il s’engouffra dans ce dernier. L’escargot attendait à l’extérieur, car l’entrée était trop étroite pour eux deux. Le quadrupède avait accepté.
Il arriva dans une salle et au beau milieu se trouvait un masque.
- Un masque ? Comment pourrait-il aider les animaux de cirque, peut-être que l’escargot le sait…
Après plusieurs jours de course, il arriva à un village. Il déposa l’escargot à l’entrée et alla voir des habitants.
- S’il vous plaît ! Je crois que j’ai fait une bêtise !
Le renard l’ignorait, mais le masque qu’il a trouvé avait été enfoui, il y a des lunes, car il était destructeur et n’apportait que la cruauté ainsi que la désolation. Les animaux n’étaient plus tranquille, l’homme allait de nouveau les traquer, même s’ils étaient en bonne santé, à dire qu’avant, ils ne tuaient que ceux qui étaient malade ou en phase terminale.
L’escargot, de son côté, voulut partir, mais avec sa lenteur, il fut rapidement attrapé pour être mangé. »
La grand-mère referma son livre et regarda la jeune fille.
- C’est depuis cette triste histoire que nous mangeons des escargots ainsi que d’autres animaux. J’aurais tant voulu connaître le moment où on pouvait les comprendre, ce devait être merveilleux.
- Oui, mamie ! Moi aussi, je veux connaître ce moment !
Texte du 18.02.2016
Par une belle journée ensoleillée, Elven, se baladait tranquillement dans les rues de la ville. Il flânait devant les boutiques, mais il ne fit pas attention et bouscula une jeune fille. Il piqua un fard en voyant qu’il se retrouvait sur la personne, il s’écarta vivement et lui tendit sa main.
Elven alla vers elle et lui présenta son ficus mal en point.
Les jours qui suivirent, Elven, continua d’aller voir la jeune fille, car avec sa maladresse légendaire, la majorité de ses plantes étaient sur le point de mourir, par sa faute. À force de venir, le garçon remarqua que le regard de la jeune fille avait changé à son égard, au début elle le méprisait, mais plus maintenant. L’adolescent haussa les épaules.
Une fois que toutes ses plantes étaient en pleine forme, le garçon arrêta d’aller chez la fleuriste, sauf que sa maladresse le rattrapa rapidement. Sans faire attention, il fit tomber un pot de fleur. Il se mit à balayer avec un air triste.
La bêtise est souvent l'ornement de la beauté.
- Puis-je vous aidez ?
- Regardez où vous marchez, la prochaine fois ! Lui répondit-elle avec une pointe d’énervement dans la voix.
Elven alla vers elle et lui présenta son ficus mal en point.
- Heu… Bonjour, heu… C’est pour vous demander si c’est normal qu’elle soit dans cet état. Pourtant… Je l’ai arrosé trois fois par jour, je ne comprends pas…
Les jours qui suivirent, Elven, continua d’aller voir la jeune fille, car avec sa maladresse légendaire, la majorité de ses plantes étaient sur le point de mourir, par sa faute. À force de venir, le garçon remarqua que le regard de la jeune fille avait changé à son égard, au début elle le méprisait, mais plus maintenant. L’adolescent haussa les épaules.
Une fois que toutes ses plantes étaient en pleine forme, le garçon arrêta d’aller chez la fleuriste, sauf que sa maladresse le rattrapa rapidement. Sans faire attention, il fit tomber un pot de fleur. Il se mit à balayer avec un air triste.
- Pfiou… Je me demande s’il n’y a pas un remède pour que j’arrête de faire des bêtises.
La bêtise est souvent l'ornement de la beauté.
Texte du 10.03.2016
La nuit était tombée sur la plaine, une brise légère soufflait, la lune faisait scintiller la toiture du château qui était encore éclairé. Un homme en sortit accompagner d’un enfant, tous deux se baladèrent tranquillement. Le plus âgé était un demi-elfe quant au plus jeune, c’était un quart d’elfe, il était reconnaissable à ses oreilles elfiques qui étaient recourbés à l’extrémité. C’est alors que le petit regarda l’adulte et lui demanda :
- Papa, que représentent les étoiles ?
- Les étoiles ? C’est une quête que les Dieux nous réservent, si tu regardes bien, tu peux voir qu’il y a plusieurs chemins. L’être qu’il soit bon ou mauvais devra y passer, il devra choisir le bon passage qui l’amènera vers le repos.
- C’est pareil pour les animaux ?
- Bien sûr !
- Mais ne t’en fais pas, il ne faut pas que tu sois triste.
- Pourtant… On peut l’être, non ? Dit-il en baissant ses oreilles.
- Ne pense plus à cela, Lankou, tu es encore jeune.
- Je sais…
- Papa… Qui est-ce ?
- Lui ? C’est un ami, je voulais lui poser une question.
- C’est rare que Lankouëch, roi du Mistral, daigne venir me rendre visite ! Que me vaut ta venue ? Encore une quelconque bêtise que tu voudrais réparer ? Ou alors veux-tu sauver un certain peuple ?
- Que nenni, je voulais juste te présenter mon fils et prendre de tes nouvelles. Je sais que des personnes viennent ici, j’espère qu’elles ne te font aucun mal…
- Non, aucune, ne t’en fais pas.
- Si tu es coincé ici… C’est que tu n’as pas réussis la quête des Dieux, n’est-ce pas ?
- Non, Lankou, je suis juste l’esprit de ce lac.
- Comment connais-tu mon prénom ? Lui demanda ce dernier en dressant ses oreilles.
- Je peux lire dans le cœur des gens. Tu as un bon fond, ne le gâche surtout pas.
Texte du 18.03.2016
A venir...