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Texte de Lankouëch
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Texte d'Ombadjak
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Texte de Flawn
Mon regard se pose sur cette ville qui s'étale sous mes yeux. cela fait à peine quelques semaines que je viens d'arriver, mais je ne me lasse pas des nuits à Elysia. Du haut des remparts, je vois parfaitement le symétrie dans la répartitions des quartiers, et je ne me lasse jamais de cette vue qui surplombe la capitale du continent. Voyageur de mon état, mes voyages me conduisent en bien des lieux, mais la ville Académique est surement la plus à même de mêler les races et les religions. Loin du brouhaha des villes désertiques ou des guerres ethniques du Nord, Elysia est au contraire un exemple de paix, d'harmonie et d'équilibre. Mais cela ne nous importe guère pour le moment, car la ville dort actuellement.
Au milieu de la cité, la cour de l'Académie est surement le lieu le plus vivant à toute heure du jour comme de la nuit, car les élèves du majestueux batiment central s'y entraînent à toute heure du jour et de la nuit. J'aime bien les observer de temps à autre, m'imaginant sans cesse les différents types de gardiens de la paix qu'ils pourraient devenir les uns et les autres. Par delà la place, les lumières des habitations dessinent des formes diverses et variées, comme un chant silencieux joués par les quelques sources émanant de fenêtreséclairées dispersées par ci et là. Et après quelques temps à me plonger dans mes pensées et mes dessins, je finis par retourner à ma chambre d'auberge, afin de profiter d'un sommeil salvateur
Les voix du marché dans la rue me tirent alors de mon sommeil dans la matinée. Si Elysia est bien calme le soir, elle est au contraire des plus vivantes une fois le soleil levé selon les quartiers dans lesquels l'on se promènent. Celui où je me trouve actuellement est celui dédié au commerce et aux voyageurs. Il existe également ceux de l'artisanat où l'on dit trouver les meilleurs forgerons du continent, des sciences où les chercheurs se dévouent principalement à l'étude des ruines ; le quartiers des mystiques où la magie est maîtresse. Il y à également trois quartiers qui sont principalement des habitations et où se trouvent donc la plupart des habitants d'Elysia. Deux d'entre eux séparent les humains et les humanoïdes pour des questions d'aisance et de place, le troisième d'entre eux permet à tous de co-exister comme pour certains couples par exemple.
Mais si ces quartiers occupent un bonne surface, eux tous réunis égalent à peine la place occupée par l'Académie. Car Elysia est avant tous connue sour le nom de ville Académique, et forme depuis des générations des guerriers et mages hors pairs prenant part à de nombreux conflits entre continent dans le but d'apporter une paix durable à ce monde.
Toute personne, avec un peu de volonté, y est accepté, qu'importe son passé ou ses antécédents, et il m'est arrivé de croiser tout aussi bien des nobles en quêtes de gloire que d'anciens criminels de guerre dans les rangs de la ville armée.
Mes yeux se perdent alors alors que le soleil se lève à peine dans le ciel de la ville, et que l'envie me prends qu'il se couche déjà...
Car même si j'apprécie énormément la paix qui règne en ces lieux et l'égalité entre les différentes espèces, il me faut toutefois avouer que j'ai une large préférence pour ceux-ci lorsque tombe le voile de la nuit. Pour moi qui suis un amoureux de la nature, il n'y à que lorsque les étoiles chantent que je peux apercevoir des animaux se promener ici et là sur les toits des batîments, lorsqu'il ne s'agit pas de polymorphe bien entendus.
Et qui sait, peut être que cette nuit, les étoiles me permettront de rencontrer à nouveau ma muse.
Au milieu de la cité, la cour de l'Académie est surement le lieu le plus vivant à toute heure du jour comme de la nuit, car les élèves du majestueux batiment central s'y entraînent à toute heure du jour et de la nuit. J'aime bien les observer de temps à autre, m'imaginant sans cesse les différents types de gardiens de la paix qu'ils pourraient devenir les uns et les autres. Par delà la place, les lumières des habitations dessinent des formes diverses et variées, comme un chant silencieux joués par les quelques sources émanant de fenêtreséclairées dispersées par ci et là. Et après quelques temps à me plonger dans mes pensées et mes dessins, je finis par retourner à ma chambre d'auberge, afin de profiter d'un sommeil salvateur
Les voix du marché dans la rue me tirent alors de mon sommeil dans la matinée. Si Elysia est bien calme le soir, elle est au contraire des plus vivantes une fois le soleil levé selon les quartiers dans lesquels l'on se promènent. Celui où je me trouve actuellement est celui dédié au commerce et aux voyageurs. Il existe également ceux de l'artisanat où l'on dit trouver les meilleurs forgerons du continent, des sciences où les chercheurs se dévouent principalement à l'étude des ruines ; le quartiers des mystiques où la magie est maîtresse. Il y à également trois quartiers qui sont principalement des habitations et où se trouvent donc la plupart des habitants d'Elysia. Deux d'entre eux séparent les humains et les humanoïdes pour des questions d'aisance et de place, le troisième d'entre eux permet à tous de co-exister comme pour certains couples par exemple.
Mais si ces quartiers occupent un bonne surface, eux tous réunis égalent à peine la place occupée par l'Académie. Car Elysia est avant tous connue sour le nom de ville Académique, et forme depuis des générations des guerriers et mages hors pairs prenant part à de nombreux conflits entre continent dans le but d'apporter une paix durable à ce monde.
Toute personne, avec un peu de volonté, y est accepté, qu'importe son passé ou ses antécédents, et il m'est arrivé de croiser tout aussi bien des nobles en quêtes de gloire que d'anciens criminels de guerre dans les rangs de la ville armée.
Mes yeux se perdent alors alors que le soleil se lève à peine dans le ciel de la ville, et que l'envie me prends qu'il se couche déjà...
Car même si j'apprécie énormément la paix qui règne en ces lieux et l'égalité entre les différentes espèces, il me faut toutefois avouer que j'ai une large préférence pour ceux-ci lorsque tombe le voile de la nuit. Pour moi qui suis un amoureux de la nature, il n'y à que lorsque les étoiles chantent que je peux apercevoir des animaux se promener ici et là sur les toits des batîments, lorsqu'il ne s'agit pas de polymorphe bien entendus.
Et qui sait, peut être que cette nuit, les étoiles me permettront de rencontrer à nouveau ma muse.
Texte de Pierro
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Texte de Mikage
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La ville de Zéro - Texte de Rena
Des fois je me balade, dans la ville. C'est un endroit que j'aime bien. J'y suis né, dans cette ville, et j'y ai grandi. La nuit, je vais sur les toits pour regarder tout ce qu'elle peut offrir à ma vue perçante. Elle est si belle, si grande, si lumineuse. Tous ces néons, tous ces lampadaires, toutes ces affiches publicitaires, toutes ces entêtes qui brillent, il y a tant de couleurs que je peux déceler même dans les recoins les plus sombres. C'est une ville qui ne dort jamais, les rues sont toujours bondées de monde, des hommes d'affaire qui rentrent à la hâte chez eux, des jeunes qui profitent de leur temps libre pour aller dans les salles d'arcade ou au cinéma, des touristes qui profitent de la fraîcheur du soir, sous les cerisiers, des couples d'amoureux qui rattrapent le temps perdu au travail. Ça grouille de vie, partout où l'on va. Les lumières la font vivre comme si c'était le jour, et il y a peut-être plus de bruit que la journée. Mais le meilleur endroit, ce sont les ruelles sombres. Celles qui n'ont pas de lumière, ou dont les lampadaires sont cassés. C'est dans les ruelles sombres que se passent les histoires les plus croustillantes. Règlements de compte, courses illégales, montées d'adrénaline, échappées furtives. Mes escapades nocturnes m'ont permis de voir des milliers de choses que les gens n'oseraient croire. Tantôt agitées, tantôt calmes et sereines, une nuit au sein de la ville n'est jamais la même qu'une autre. Sitôt que le l'astre diurne se couche, on repart à zéro. Les mêmes visages, les mêmes créatures qui se croisent, et pourtant à chaque fois la situation est différente.
Dès que le soleil pointe à l'horizon, le bleu de la nuit s'évapore tendrement pour revenir à des tons pastels. Les néons, les lampadaires, les enseignes s'éteignent tour à tour, et les hommes et femmes reprennent leur dur labeur. Les hommes d'affaire toujours aussi pressés, mais cette fois d'arriver à leur travail, les étudiants tous habillés pareil qui vont apprendre des choses dont les trois-quart ne leur serviront à rien pour leur métier à venir, les couples qui se disent au revoir sur le pas de la porte avant que chacun parte de son côté, les vieux qui se mettent au bord de l'e au, pour faire leur espèce de danse rituelle bizarre, avec lenteur et sérénité. Autour de ces petits vieux, des voitures, des vélos, des autobus, des tramways. Ça claksonne, ça chantonne, de temps en temps ça se met à crier, ça rit aussi, ça parle au téléphone. Et personne ne se regarde. Les gens sont rivés sur leurs écrans, ils ne font même plus attention à la pollution visuelle, olfactive et auditive qui les entoure. Les humains sont des créatures si étranges parfois…
la ville de jour est quasiment aussi bruyante, aussi agitée, et aussi odorante que la nuit. Et pourtant, je la préfère à partir du moment où le soleil se couche à l'horizon. Parce que la nuit, tous les chats sont gris. La nuit, je peux me fondre dans les ombres des passants qui passent, et être l'observateur de milliers de choses étonnantes, hallucinantes, terrifiantes parfois. Je vois des choses extraordinaires, des choses interdites, des choses monstrueuses. De la brise sortie de nulle part à la rose en argent, du sang qui goutte d'une blessure refermée au souffle qui s'épuise sous le poids de la mort. Ah si les chats devaient parler, j'en aurais des choses à dire, sur les nuits de cette ville. Mais je suis un gardien, et je tairai les secrets de ce que j'ai entrevu, senti ou entendu à travers mes rondes nocturnes. Oui, clairement, dans cette ville futuriste, c'est bien la nuit que je préfère. Si brillante, si colorée, criant sa vie au noir de la nuit qui s'étend autour d'elle.
Dès que le soleil pointe à l'horizon, le bleu de la nuit s'évapore tendrement pour revenir à des tons pastels. Les néons, les lampadaires, les enseignes s'éteignent tour à tour, et les hommes et femmes reprennent leur dur labeur. Les hommes d'affaire toujours aussi pressés, mais cette fois d'arriver à leur travail, les étudiants tous habillés pareil qui vont apprendre des choses dont les trois-quart ne leur serviront à rien pour leur métier à venir, les couples qui se disent au revoir sur le pas de la porte avant que chacun parte de son côté, les vieux qui se mettent au bord de l'e au, pour faire leur espèce de danse rituelle bizarre, avec lenteur et sérénité. Autour de ces petits vieux, des voitures, des vélos, des autobus, des tramways. Ça claksonne, ça chantonne, de temps en temps ça se met à crier, ça rit aussi, ça parle au téléphone. Et personne ne se regarde. Les gens sont rivés sur leurs écrans, ils ne font même plus attention à la pollution visuelle, olfactive et auditive qui les entoure. Les humains sont des créatures si étranges parfois…
la ville de jour est quasiment aussi bruyante, aussi agitée, et aussi odorante que la nuit. Et pourtant, je la préfère à partir du moment où le soleil se couche à l'horizon. Parce que la nuit, tous les chats sont gris. La nuit, je peux me fondre dans les ombres des passants qui passent, et être l'observateur de milliers de choses étonnantes, hallucinantes, terrifiantes parfois. Je vois des choses extraordinaires, des choses interdites, des choses monstrueuses. De la brise sortie de nulle part à la rose en argent, du sang qui goutte d'une blessure refermée au souffle qui s'épuise sous le poids de la mort. Ah si les chats devaient parler, j'en aurais des choses à dire, sur les nuits de cette ville. Mais je suis un gardien, et je tairai les secrets de ce que j'ai entrevu, senti ou entendu à travers mes rondes nocturnes. Oui, clairement, dans cette ville futuriste, c'est bien la nuit que je préfère. Si brillante, si colorée, criant sa vie au noir de la nuit qui s'étend autour d'elle.